La semaine dernière, une cliente me demandait : « mais Sylviane quand sait-on s’il faut continuer dans un projet, une relation ou une idée ou lâcher prise ? « Grande question que j’ai déjà traitée plusieurs fois sur ce blog mais sur lequel il me paraît intéressant de revenir tant le sujet est vaste et souvent compliqué.
S’obstiner ou tenir bon contre vents et marées provoque souvent un stress inimaginable, on tient bon mais à quel prix. Alors quand est-il souhaitable de lâcher prise et quand faut-il persister ?
LÂCHER PRISE OU CONTINUER ? LÂCHER PRISE versus OBSTINATION ?
Tout les coaches vous disent :« de continuer, de ne pas abandonner, d’y aller, de persister, de ne pas céder à la procrastination (le mot est à la mode), de vous acharner, d’insister, d’être tenace, opiniâtre », bref surtout de ne pas lâcher prise.
Alors qui croire ? Que faire ? Quand faut-il arrêter de se remettre en question et quand faut-il simplement lâcher prise ? Je vais vous faire part de mes « trouvailles » sur le sujet et de ce qui m’aide aujourd’hui à faire la différence.
Les sujets que je vais aborder ne seront que survolés car on pourrait écrire sur ce thème pendant des heures et des heures et même après tout ce temps passé il y aurait encore des choses à dire.

LÂCHER PRISE EN AMOUR :
Pour moi c’est dans le domaine sentimental que l’on se rend le mieux compte qu’il faut lâcher prise (je ne dis pas que ce sera facile pour vous seulement que c’est là que cela apparaîtra le plus nettement) .
En effet, il existe quelques signes annonciateurs pour « lâcher prise » quels que soient votre pays, culture ou couleur de peau :
si votre partenaire ne vous téléphone plus que par intermittence …
si vous sentez « intimement » que quelque chose ne va pas ou n’est plus comme avant …
si la personne n’est plus aussi présente, aussi réellement intéressée qu’auparavant …
si les absences se multiplient …
si vous devez FORCER pour avoir des explications, signes d’intérêt ou rencontres
et
si vous-même avez fait des efforts pour que la communication et l’’harmonie
règnent dans le couple et que tout continue bancal …
si vous vous êtes creusé la cervelle pour voir ce qui ne va plus/pas …
si vous vous FORCER pour que tout aille bien en vain
probablement que votre obstination ne mènera plus à rien la décision vous appartient bien sûr dans un sens ou dans l’autre mais lâcher prise est l’unique solution pour arrêter de stresser et de vous rendre malade.
Si vous avez des difficultés à LÂCHER
demandez-vous si vous avez peur (de l’abandon, du rejet, de vivre seul(e), du regard des autres, du changement …
peut-être est-ce parce que vous voulez garder le contrôle …
vous vous sentiriez diminué(e), nul(le), un(e) raté(e)
vous n’arrivez pas à faire le deuil de la relation, vous n’acceptez pas l’échec …
etc..
LÂCHER PRISE AU TRAVAIL ou POUR TOUT AUTRE PROJET
On donne souvent des exemples de personnes qui ont persisté jusqu’au succès comme Walt Disney ou encore Edison. Ce dernier aurait fait plus de 1200 tentatives pour arriver à finaliser sa LAMPE alors on peut se demander ce qui l’a poussé à recommencer et recommencer sans arrêt sans jamais se décourager.
Pourquoi n’a-t-il pas lâché prise ? Comment et pourquoi s’est-il obstiné ?
Tous ceux qui l’ont connu disent qu’il était « habité » par ce projet, il le sentait, y croyait dur comme fer et avait déjà inventé d’autres choses avant la lampe, pour lui il ne s’agissait pas de FORCER, non il pensait juste que les tentatives n’étaient que des façons de l’améliorer. Il n’était pas dans le contrôle mais plutôt dans la passion d’arriver à trouver la solution.La passion le poussait, sans arrêt.
Vous avez sûrement connu des personnes qui s’obstinent sur un projet qu’ils font et refont à l’envie des centaines de fois sur les mêmes bases c’est-a-dire en faisant toujours et toujours les mêmes erreurs sans chercher à changer de perspective et en S’EF-FORÇANT de prouver combien ils ont raison.
“Les problèmes importants que nous affrontons aujourd’hui ne peuvent être résolus au niveau de conscience qui les a créés.” Albert Einstein
Lâcher prise pour eux serait reconnaître qu’ils sont des ratés, des bons à rien et que ce sont ceux qui lâchent prise qui sont dans l’erreur. Ils sont dans le contrôle total incapable de voir que les erreurs pourraient probablement être transformés en expériences positives.
ALORS, PERSISTANCE, OBSTINATION OU LÂCHER PRISE ?
Avec les années, je me suis rendue compte qu’il m’était de plus en plus facile de lâcher prise aussi bien pour les petites choses que pour les grandes et le stress a reculé sérieusement jusqu’à pratiquement disparaître complètement.
Et je suis arrivée à quelques conclusions qui m’apportent aujourd’hui paix et harmonie :

Si je « renâcle » devant un projet (dans n’importe quel domaine) je me suis aperçue que c’est parce :
qu’il ne me passionne pas, il ne me motive pas mais JE FORCE
que malgré l’opinion positive de certains je ne le ressens pas positivement pour moi mais JE FORCE
que les difficultés au lieu de motiver (les défis me passionnent) me fichent le moral en l’air et font revenir dare-dare mon SABOTEUR, malgré tout JE FORCE …
que je n’écoute pas mes besoins, ne me respecte pas et fatiguée JE FORCE quand même …
que j’ai du mal à accepter que ça ne se passe pas comme souhaité mais JE FORCE …
que les « IL FAUT et JE DOIS » envahissent mon vocabulaire mais malgré tout JE FORCE …
que je n’arrive pas à laisser tomber alors JE FORCE …
“L’art de vivre consiste en un subtil mélange entre lâcher prise et tenir bon” – Henri Lewis

Mais au contraire
SI:
malgré tous mes efforts pour redresser la barre, pour trouver une approche différente, tout va de travers, c’est que le projet n’est pas juste pour moi, JE LÂCHE PRISE
je sens intimement et intuitivement que le projet ne me convient pas, JE LÂCHE PRISE
je me rends compte que je suis en train de FORCER, halte là ! JE LÂCHE PRISE
je me sens fatiguée et mal à l’aise à chaque fois que je pense « IL FAUT, TU DOIS » faire ceci ou cela ma petite Sylviane ! JE LÂCHE PRISE
si malgré mes efforts de compréhension des problèmes et des remises en question, une relation continue bancale JE LÂCHE PRISE
à chaque fois que JE FORCE, alors je me dis « LÂCHE PRISE MA PETITE SYLVIANE ce n’est pas bon ni pour la santé ni pour ta sérénité ! »
Quand on force, les tensions sont de plus en plus fortes (avec le stress en prime bien sûr), les maux de tête, migraines, mal d’estomac arrivent souvent au grand galop et souvent votre corps vous oblige à LÂCHER PRISE, DE FORCE (quel jeu de mots brillant ….!)
« quand les choses « coulent, sont fluides » – même s’il y a des problèmes, les solutions s’enchaînent naturellement et se résolvent simplement – alors je sais que c’est bon pour moi »
Croyez-moi si vous vous reliez intimement à vos sensations quand vous vivez un moment difficile ou vous traversez des situations pénibles, vous saurez quand il juste pour vous de continuer dans votre projet ou de lâcher prise et vous vous sentirez alors en harmonie avec vos décisions.
Laissez-vous ressentir dans votre corps ce que ce nouveau projet éveille en vous : des sensations agréables ou des tensions ? Bien-être ou contractions ?
Exercice : Faites un retour sur votre vie et trouvez au moins 3 situations dans lesquelles vous n’avez pas réussi à lâcher prise malgré les signes que vous receviez et pour lesquelles vous avez forcé avec des conséquences négatives ou problématiques pour vous.
Et sur mon autre blog LES CHEMINS DE L’INTUITION
un exercice passionnant pour exercer votre intuition :
« Découvrez intuitivement le caractère du grand-père de Gédéon »
20 Réponses to “Quand lâcher prise et quand tenir bon ?”
26 mars 2015
Marithe de Synergie BonheurMerci Sylviane de traiter ce sujet ô combien important dans le cheminement pour se positionner avec bonheur dans sa vie.
Dans les soins que je propose, souvent j’utilise et invite les personnes à utiliser la phrase suivante : Je me libère (sous-entendu de mes aggripations et de la prison où je me suis enfermée avec mes croyances, mes je veux …)et je lâche même si je ne sais pas comment. (référence à l’EFT selon Sophie Merle et la RCE/CD selon Monique Lappointe)
Essayer cette phrase c’est l’adopter tellement ces mots sont puissants pour passer à un autre positionnement qui immanquablement apporte une ou plusieurs solutions inimaginables auparavant, tout s’arrange et s’harmonise et c’est très bon au-delà de ce que nous aurions pu imaginer.
26 mars 2015
sylvianeBonjour
C’est vrai que les phrases matras sont très puissantes et dans le cas qui nous occupe à force de les répéter ça finit par rentrer si j’ose dire car les mots (le Verbe) ont une vibration très forte en sens positif comme en négatif donc ici je suis tout à fait d’accord avec vous que ces phrases sont vraiment aidantes
le dernier article de sylviane ,Découvrez intuitivement le caractère du grand-père de Gédéon
26 mars 2015
BrigitteOui, Sylviane, vous avez tout à fait raison. Forcer sa nature, ou espérer forcer le destin, ce n’est bon qu’à générer du stress. Depuis longtemps j’ai fait mienne cette phrase :
« ce qui est facile est juste,
ce qui est juste est facile »…
et même si parfois, j’essaie encore de « faire passer au risque de casser », j’ai compris qu’il y a un moment où « quand ça veut pas, ça veut pas » !!! Et alors il faut se résigner et lâcher prise, et chercher un autre chemin. Je crois aussi qu’avec l’âge, on apprend la patience…
B.
27 mars 2015
sylvianeBonjour Brigitte
Dès qu’on force ce n’est pas juste pour nous mais il nous faut souvent des années et bien des déboires pour nous en rendre compte aujourd’hui dès que je sens que le « forçage » est en action je fais marche arrière et j’adhère totalement a »« ce qui est facile est juste,ce qui est juste est facile »… A bientôt
le dernier article de sylviane ,Découvrez intuitivement le caractère du grand-père de Gédéon
27 mars 2015
TheonasBonjour,
Oui, c’est tout à faire normal. Nous devons mettre l’épreuve pour faire la part des choses. Le fait de ne pas réussir, c’est de ne pas avoir essayé. La nature est dotée de principe et chaque être humain doit s’adapter à la valeur qui lui est destinée. La solution n’est pas facile qu’on le croit, nous aurons l’amélioration à base de vos expériences. Merci !
27 mars 2015
sylvianeEh oui tout est dans l’apprentissage, dommage que l’être humain ait une fâcheuse tendance à avancer à coup de problèmes et souvent de drames ou tragédies
le dernier article de sylviane ,Découvrez intuitivement le caractère du grand-père de Gédéon
27 mars 2015
HeleneBonjour Sylviane,
Sujet qui me parle ! Il y a le lâcher prise sur les grandes choses de la vie et le lâcher prise sur les petites choses de le vie.
J’arrive de plus en plus à lâcher prise. Déjà dans mon boulot, je suis moins perfectionniste, je lâche prise ! Et je m’en porte que mieux.
J’aime beaucoup cette citation que tu nous offre : “L’art de vivre consiste en un subtil mélange entre lâcher prise et tenir bon” – Henri Lewis
Ce subtil mélange permet de garder un équilibre de vie.
Il m’est arrivé de m’acharner en sachant au fond de moi que ce n’était pas la bonne voie et en préférant croire qu’il y aura bien une solution miracle par fierté mal placée, le résultat a été désastreux. C’est loin derrière maintenant, il a fallu cette expérience pour me mettre un peu de plomb dans le cerveau.
Actuellement je m’acharne, plutôt, je persévère sur mes projets de « web », mais je sais que c’est pour réaliser ce qui est au fond de moi. Il ne faut pas confondre la persévérance « intelligente » à la persévérance « bête ». Je lâche prise en acceptant l’idée que ce sera plus long que prévu mais je tiens bon en restant fidèle à mon chemin que je me suis fixé. Ma petite Hélène, c’est ta voie !
J’aime beaucoup ton article, oui, il y aurait énormément à dire sur le sujet.
Merci Sylviane,
Hélène
le dernier article de Helene ,Comprendre notre chemin de vie et en extraire le bon grain
28 mars 2015
sylvianeBonjour Hélène
Heureusement que tu as remplacé les termes « je m’acharne » par je persévère car sachant combien ton projet de blog et le travail que tu fournis te passionnent et sont importants pour toi, j’avoue que je m’acharne faisait plutôt penser aux « il faut, je dois » donc not good
C’est vrai que maintenir l’équilibre entre les deux relève parfois d’une gageure mais personnellement tant que je suis passionnée et que ma petite voix ne me dis pas d’arrêter je sais qu’il me faut continuer
le dernier article de sylviane ,Découvrez intuitivement le caractère du grand-père de Gédéon
29 mars 2015
HeleneNon Sylviane, je ne m’acharne pas. Je suis simplement mon intuition.
La tâche est rude mais le plaisir reste immense.
Je tiens bon dans ce qui m’est cher.
le dernier article de Helene ,Obstination et persévérance au service de nos vies : mode dâemploi
30 mars 2015
Sco!@couple routineBonjour Sylviane,
Cette question à savoir quand continuer et quand lâcher prise est difficilement compréhensible de prime abord, parce qu’il y a une subtilité entre les deux qu’on ne saisit pas immédiatement. Et quand on la saisit, elle n’est pas facile à mettre en application.
Dans certains projets, on peut continuer tout en lâchant prise et c’est cela qui amènera un résultat, quand on obtient un résultat.
Si on continue tout en lâchant prise, ça veut dire qu’on ne force pas pour arriver à notre but. On se sent relax par rapport à notre but. C’est de se sentir relax qui est un lâcher prise. Et c’est ça le défi : continuer tout en se sentant relax, quand le but est bon pour nous.
Comme tu le dis, «forcer» n’est pas la bonne chose à faire.
Amicalement,
Sco!
P.S. Je crois que je connais ta cliente et je ne t’ai pas oubliée au sujet de ce que je t’ai promis, même si ça fait déjà un moment.
le dernier article de Sco!@couple routine ,Crise de la quarantaine
9 avril 2015
sylvianeBonjour Sco!
Même si vieillir n’est pas toujours rigolo rigolo (même si la santé est bonne) il y a cependant un grand avantage c’est que nous pouvons prendre du recul par rapport à nos actions et cela permet de relativiser et surtout de tirer profit de tout ce qui a été fait et là franchement c’est en faisant le « rewind » de ma vie que je me suis rendue compte (il y a quelques années déjà) que si je forçais ça n’était pas bon pour moi et d’ailleurs je le sentais par les tensions du cou et de la nuque mais il m’a fallu du temps pour m’en rendre compte mais maintenant c’est acquis
Quand je veux acheter un produit que le magasin veut faire venir d’une succursale parce qu’il ne l’ont plus, je sais que s’il n’est pas accessible ce n’était pas bon pour moi
le dernier article de sylviane ,L’art de rêver avec Nicole Gratton
31 mars 2015
MarieBonsoir Sylviane,
Je crois que l’on sent bien quand le projet « patine », quand on tourne en rond, qu’il n’y a aucune avancée.
Que ce soit au travail, en amour ou pour n’importe quoi, il faut vraiment sentir quand s’arrêter à temps.
Sinon c’est douloureux !
Et tant pis si certains parlent de découragement ou de « lâcheté » à la limite. Au final on y laisse moins de plumes.
Marie.
le dernier article de Marie ,Par quoi remplacer le sucre ?
7 avril 2015
sylvianeBonjour Marie
Oui généralement on « sent » comme tu dis car notre intuition ne lâche pas le morceau et nous envoie des messages mais tu sais comme moi que notre brave mental est souvent très convaincant et autour de nous on ne parle que de tenir bon, de maintenir le cap et si tu abandonnes (parce que tu sens qu’il le faut » les autres ont plutôt tendance à penser que tu procrastines.
Résultat des courses mieux vaut s’écouter sincèrement et se ficher de l’opinion des autres même de nos proches, qu’en penses-tu ?
le dernier article de sylviane ,L’art de rêver avec Nicole Gratton
9 avril 2015
MarieBonjour Sylviane,
J’en pense que ce que disent « les autres » me convainc rarement !
Surtout quand il s’agit de proches justement.
Même si j’hésite, je préfère hésiter seule avec ma conscience et mon intuition !
D’ailleurs rares sont ceux au courant de mes projets.
Tu en connais certainement plus que mes proches à ce sujet !!
Quant à la procrastination, idée à la mode pour ne pas dire pire, cela m’agace. Simplificateur et superficiel.
A bientôt.
Bon soleil.
Marie.
le dernier article de Marie ,Par quoi remplacer le sucre ?
9 avril 2015
sylvianeComme toujours Marie nous sommes sur la même longueur d’ondes car ce mot de procrastination qui revient à tout bout de net me hérisse le poil comme si un mot pouvait résumer pourquoi quelqu’un ne fait pas ce qu’il a à faire
le dernier article de sylviane ,L’art de rêver avec Nicole Gratton
9 avril 2015
MarieCoucou Sylviane,
« comme si un mot pouvait résumer pourquoi quelqu’un ne fait pas ce qu’il a à faire »
C’est exactement ça. Tu le dis parfaitement.
Je ne me suis jamais reconnue dans la définition ou le diagnostic.
Et d’abord, je procrastine si je veux, quand je veux et comme je veux !!
Marie.
5 avril 2015
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7 avril 2015
sylvianeBonjour Hélène
Un article qui vient à point et parfaitement complémentaire du mien, comme quoi les grands esprits se rencontrent non ?
le dernier article de sylviane ,L’art de rêver avec Nicole Gratton
19 février 2018
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10 septembre 2019
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